The great theater de Slawomir Batyra
Chronique d’un Madame Butterfly à l’opéra de Varsovie. Un superbe voyage dans l’artisanat qui entoure cet espace multidisciplinaire si magique qu’est un opéra.
Encore une fois salle comble, et c’est mérité.
Satan Satie de Juruna Mallon et Lucas Parente
Alors là on est comme je le disait précédemment entre réalité et fiction, surréalisme et archive.
J’ai adoré surtout grâce aux événement qui ont accompagné la projection: je crois n’avoir jamais vu des spectateurs se lever et protester de la sorte quant au parti pris du réalisateur sur sa vision. Pourtant rien de choquant dans le fait de présenter l’intimité découverte d’un compositeur plus que méconnu de son vivant, mais là le gars se lève de son fauteuil, crie au scandale, que le surréalisme n’a rien à faire avec la vie de Satie ( qui est restée secrète même à sa famille de son vivant ). J’ai adoré ce retour au XVIIeme siècle où le spectateur était publiquement juge de l’œuvre, au moment de son exécution. Génial et hilarant de spontanéité.
Personnellement j’ai bien aimé le film mais plus de visions critiques et spontanée apporteraient tellement à la vie de tout le jours…